Guide de Emmanuel

Gastronomie

Crêperie Du Gorvello

Très bonne crêperie avec un chef très sympathique https://youtu.be/mbCIr2XA150

12 Recomendado por los habitantes de la zona

Crêperie Du Gorvello

17 Rue des Ducs de Bretagne

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Très bonne crêperie avec un chef très sympathique https://youtu.be/mbCIr2XA150

Distillerie du Gorvello

Route de Pébéyec

Saint-Gildas-de-Rhuys

La cabane des poissons rouges 72 Rte du Rohu, 56730 Saint-Gildas-de-Rhuys Au bord de la mer, route du Rohu, ce qui était autrefois une simple cabane est donc devenu La cabane des poissons rouges dans les mains d'Agnès Belin. Nature et partage Pour la cinquième année, ce restaurant atypique et chaleureux s'ouvre à tous de juin à octobre. « Ce que j'ai voulu faire c'est un lieu de convivialité pour se poser et profiter de la mer. » Des transats, des jeux de société, des bouquins, un lit pour faire la sieste... Le lieu est une invitation à la détente. « L'année dernière, un homme a cherché sa femme pendant deux heures, elle s'était enroulée d'un plaid qu'on a à disposition et s'était endormie ! » Dans la recette d'Agnès Belin il y a deux ingrédients majeurs. « La restauration c'était un des moyens que j'avais pour partager ma conception de la nature et ma conception de l'autre. » Le respect de l'environnement, cher à ses yeux, se matérialise par l'installation de toilettes sèches. « Certains clients découvrent, mais globalement ils apprécient. » Il y a aussi un tri où chacun participe. « C'est parfois dur à faire respecter mais les gens essayent. » Le petit potager ne présente pas seulement l'avantage de procurer des herbes fraîches. « C'est aussi pour que les gens découvrent qu'avec peu d'espace, on peut faire pousser des choses. » C'est un moyen de faire passer un message écologique et de donner des idées pour avoir la main verte. « Pour les enfants, c'est aussi comme un jardin pédagogique. » Besoin de lever le pied Une vie de restauratrice ? Pas du tout. Fonctionnaire de justice elle a ensuite créé une structure d'accueil pour les jeunes en difficultés. « J'ai commencé la restauration à 50 ans. À 45 ans, j'avais besoin de lever le pied. La restauration, c'était une continuité pour moi mais c'était moins lourd psychologiquement. » La continuité dont elle parle semble se jouer dans la relation de proximité qu'elle entretient avec les autres, notamment les producteurs locaux. « On est en réseau. On travaille essentiellement avec des producteurs de la Presqu'île pour le pain, les légumes, le fromage, la bière. » Du club nautique voisin aux employés « qui se donnent à fond », une bonne collaboration semble l'un de ses principes. Le rapport personnalisé aux clients en est un autre. « Les clients passent leur commande au bar. Quand c'est prêt, on les appelle par leur prénom. » L'envie de donner, qui semble caractériser cette dame de poigne, se retrouve dans l'assiette. « Je prépare avec les choses que j'aime. J'aime le bio, les produits de qualité donc je ne veux pas proposer autre chose. » Le mobile-home aménagé de 8 m 50 sur 4 mètres de large est animé de 10 h du matin à 22 h le soir. Il est démonté et remonté chaque année : « un gros boulot ». Pour autant, lorsque l'on demande à Agnès Belin si elle compte s'arrêter un jour, elle répond : « Je ne vais pas travailler jusqu'à 80 ans, mais pour l'instant je la garde ma cabane ! »

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Saint-Gildas-de-Rhuys

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La cabane des poissons rouges 72 Rte du Rohu, 56730 Saint-Gildas-de-Rhuys Au bord de la mer, route du Rohu, ce qui était autrefois une simple cabane est donc devenu La cabane des poissons rouges dans les mains d'Agnès Belin. Nature et partage Pour la cinquième année, ce restaurant atypique et chaleureux s'ouvre à tous de juin à octobre. « Ce que j'ai voulu faire c'est un lieu de convivialité pour se poser et profiter de la mer. » Des transats, des jeux de société, des bouquins, un lit pour faire la sieste... Le lieu est une invitation à la détente. « L'année dernière, un homme a cherché sa femme pendant deux heures, elle s'était enroulée d'un plaid qu'on a à disposition et s'était endormie ! » Dans la recette d'Agnès Belin il y a deux ingrédients majeurs. « La restauration c'était un des moyens que j'avais pour partager ma conception de la nature et ma conception de l'autre. » Le respect de l'environnement, cher à ses yeux, se matérialise par l'installation de toilettes sèches. « Certains clients découvrent, mais globalement ils apprécient. » Il y a aussi un tri où chacun participe. « C'est parfois dur à faire respecter mais les gens essayent. » Le petit potager ne présente pas seulement l'avantage de procurer des herbes fraîches. « C'est aussi pour que les gens découvrent qu'avec peu d'espace, on peut faire pousser des choses. » C'est un moyen de faire passer un message écologique et de donner des idées pour avoir la main verte. « Pour les enfants, c'est aussi comme un jardin pédagogique. » Besoin de lever le pied Une vie de restauratrice ? Pas du tout. Fonctionnaire de justice elle a ensuite créé une structure d'accueil pour les jeunes en difficultés. « J'ai commencé la restauration à 50 ans. À 45 ans, j'avais besoin de lever le pied. La restauration, c'était une continuité pour moi mais c'était moins lourd psychologiquement. » La continuité dont elle parle semble se jouer dans la relation de proximité qu'elle entretient avec les autres, notamment les producteurs locaux. « On est en réseau. On travaille essentiellement avec des producteurs de la Presqu'île pour le pain, les légumes, le fromage, la bière. » Du club nautique voisin aux employés « qui se donnent à fond », une bonne collaboration semble l'un de ses principes. Le rapport personnalisé aux clients en est un autre. « Les clients passent leur commande au bar. Quand c'est prêt, on les appelle par leur prénom. » L'envie de donner, qui semble caractériser cette dame de poigne, se retrouve dans l'assiette. « Je prépare avec les choses que j'aime. J'aime le bio, les produits de qualité donc je ne veux pas proposer autre chose. » Le mobile-home aménagé de 8 m 50 sur 4 mètres de large est animé de 10 h du matin à 22 h le soir. Il est démonté et remonté chaque année : « un gros boulot ». Pour autant, lorsque l'on demande à Agnès Belin si elle compte s'arrêter un jour, elle répond : « Je ne vais pas travailler jusqu'à 80 ans, mais pour l'instant je la garde ma cabane ! »